Découvrez nos produits pour vous accompagner cet HIVER !

Le sel : comment mieux le consommer pour préserver votre santé ?

Qu'il soit naturel, raffiné, parfois rose ou noir, le sel relève les saveurs de nos plats. Il joue également un rôle clé dans le séchage, la conservation et la texture des aliments. Mais il est à consommer avec modération...

D'où vient le sel ?

Le sel provient des cristaux de chlorure de sodium qui se forment à la surface des océans. Le sel marin est prélevé dans les marais salants, que ce soit de manière artisanale ou industrielle. Quant au sel de mine, il est extrait de gisements souterrains, vestiges de mers évaporées depuis des millénaires.

Il en existe une incroyable diversité : des sels gris naturels, des blancs raffinés, les bleus de Perse aux arômes légèrement épicés, les noirs d’Hawaii récoltés près des volcans, ou encore les rouges aux notes délicates de noisettes grillées. 

Sans oublier les roses de l’Himalaya, prisés pour leur finesse aromatique, ou les noirs fumés au bois d’aulne, parfaits pour rehausser les légumes. Plus rare, le givre de sel du désert blanc d’Égypte, aérien et délicat, est particulièrement apprécié des grands chefs.

Le sel dans nos assiettes

 Le sel est un exhausteur de goût inégalé : il intensifie les arômes et atténue l’amertume. Il sert également à conserver les aliments en absorbant l’eau, ce qui freine la prolifération des bactéries.

Côté cuisson, il se révèle précieux pour cuire viandes, poissons et légumes à l’étouffée dans une croûte de sel.

Contrairement au dessèchement souvent causé par l’air chaud et ventilé du four, cette méthode permet de préserver à la fois les nutriments et les saveurs des aliments.

Le sel intervient aussi dans la texture : il donne du moelleux aux terrines, de la structure et de la tenue à la pâte à pain, ou encore contribue à la formation d’une belle croûte sur les fromages. Et avant même la cuisson, il opère déjà des miracles.

Quand et comment saler ?

Pour les plats « bouillis » (où l’on souhaite que les arômes des viandes, poissons ou légumes se diffusent dans l’eau de cuisson), mieux vaut éviter d’ajouter du sel dès le départ. L’ajout de sel empêche en effet le liquide d’absorber les arômes des éléments solides. À l’inverse, pour les viandes sautées ou cuites au four, un assaisonnement préalable est tout à fait adapté.

Comment réduire sa consommation de sel ?

Une première méthode consiste à stimuler les papilles avec des épices, des baies et des herbes fraîches. En multipliant les saveurs, le palais perçoit moins l’absence de sel.

Deuxième astuce : saler à la fin de la cuisson. Ajouter le sel directement dans l’assiette augmente la perception saline, permettant d’en utiliser moins. 

 Trop de sel nuit à votre santé

 En France, la consommation de sel dépasse largement les recommandations : 7 à 9 g par   jour contre 5 g maximum conseillés par l’OMS (l’équivalent d’une cuillère à café). La   majeure partie du sel consommé (80%) est « cachée » dans les aliments transformés :   pain, charcuterie, fromages, plats préparés, soupes ou sauces industrielles.

 Ce surplus pose un véritable problème de santé publique. « C’est une problématique   majeure liée à l’hypertension artérielle et au risque de maladies cardiovasculaires »,   souligne Clémentine Hugol-Gential, chercheuse. 

Depuis le premier rapport de l’OMS en   1978, les industriels sont simplement invités, depuis 2007, à inclure des messages de   santé publique dans leur publicité, sans obligation stricte.

Dans l’alimentation vivante, des alternatives comme les sauces de soja fermentées (tamari ou soyu) remplacent avantageusement le sel classique, tout comme le sel de l’Himalaya ou des épices comme le piment de Cayenne. Ail, gingembre, oignons frais, ainsi qu’un large éventail d’herbes aromatiques (persil, thym, coriandre, etc.) enrichissent également les mets sans ajout de sodium.

Sodium et potassium : un équilibre fragile

Un excès de sodium ou une carence en potassium perturbe l’équilibre hydrique et la pression artérielle, entraînant rétention d’eau, hypertension, voire un risque accru de maladies cardiovasculaires. Des symptômes tels que crampes, faiblesse musculaire ou ostéoporose peuvent aussi apparaître.

Pour limiter ces risques, il est essentiel de réduire la consommation de sel « caché » et de privilégier les fruits et légumes riches en potassium, qui apportent en bonus des fibres, vitamines et antioxydants.

Les bénéfices d’une réduction de sel

Aux États-Unis, une réduction de 3 g de sel sur 3 ans a permis une baisse de poids de 4,5 kg en moyenne et une diminution de 20% de la tension artérielle chez les participants. En Finlande, réduire la consommation de 3 à 4 g a entraîné une baisse de 75% de la mortalité cardiovasculaire et une augmentation de l’espérance de vie de 7 ans.

Le sel Chito "Symbiosal" : une alternative innovante

Le sel Chito Symbiosal n’a pas d’effet hypertensif et contribue au contrôle de la pression artérielle. Ce sel de mer unique, dont le sodium et le chlore sont dissociés grâce à un biopolymère naturel extrait de carapaces de crabes, se distingue par ses effets métaboliques et biologiques. 

Il favorise l’hydratation cellulaire, limite la rétention d’eau, évite la fuite calcique et soutient les régimes alimentaires sans sel, ceux dédiés à l’obésité, au cholestérol ou encore à l’ostéoporose.

En savoir plus

Flacon de sel Chito Symbiosal Oligosens

Le sel des personnes soucieuses de leur santé

Le sel Chito Symbiosal est recommandé pour toute personne souhaitant réduire son apport en sodium sans sacrifier le goût. Breveté en Europe, il offre une alternative rapide et efficace, avec un apport conseillé de 2 à 4 g par jour selon les instances sanitaires.

En repensant votre consommation de sel, vous pouvez non seulement préserver votre santé, mais aussi redécouvrir la richesse des saveurs naturelles grâce à des alternatives et des astuces simples. 

Le sel Chito Symbiosal s’impose comme une solution innovante pour allier plaisir culinaire et bien-être, tout en réduisant les risques liés à l’excès de sodium. Faire le choix d’un sel plus sain, c’est opter pour une alimentation plus équilibrée et respectueuse de notre organisme.


AP 28 janvier, 2025
Partager ce poste
Archiver
Products
Se connecter pour laisser un commentaire.

Le contrôle du climat, on en parle ?