Caroline a 39 ans. Mère de 3 enfants, elle travaille dans une petite entreprise familiale dans le secteur du bâtiment. Ses journées sont bien remplies entre son boulot, sa maison et ses 3 petites têtes blondes. Après la naissance de son petit dernier, elle a été littéralement terrassée par des crises de migraines à répétition.
Un véritable enfer, une traversée du désert tant la douleur était insoutenable. De plus, la migraine génère de nombreuses peurs : peur de la récidive, peur des conséquences neurologiques, peur d’être atteinte d’un AVC, peur d’un cancer du cerveau.
Migraine, la maladie invisible
Généralement, les crises apparaissaient quelques jours avant ses règles, la confinant dans sa chambre, dans le noir complet et un silence d’église. Facile dans une maison aussi animée par de jeunes bambins. Ces céphalées ont changé sa vie et sa bonne humeur, son rapport aux autres et à son conjoint notamment.
Caroline a consulté son médecin qui lui a conseillé de l’aspirine mais son estomac en a méchamment souffert. Elle prenait de plus en plus d’antalgiques mais la migraine était bien décidée à pourrir son existence.
Cette maladie invisible et silencieuse peut bouleverser l’existence et donner un autre rythme au quotidien. Elle touche principalement les femmes (3 femmes pour 1 homme). On estime qu’entre 15 à 20% de la population souffre de cette maladie particulièrement invalidante. Il suffit de 5 crises pour être diagnostiqué « migraineux ».
Les symptômes sont les suivants :
Très fortes céphalées, douleurs très localisées d’un côté de la tête
Nausées
Vomissements
Elancements
Troubles de la vision
Sensation de froid ou de sueur
Sensibilité accrue à la lumière
Les crises peuvent varier de quelques heures à quelques jours. La fréquence des crises est très variable : de plusieurs crises par semaines à une crise par an.
Ces journées gâchées par la douleur peuvent être provoquées par la fatigue, des émotions vives (positives ou négatives), la déshydratation, variations hormonales, le vent et certaines conditions météorologiques, un sommeil perturbé, certains aliments comme le chocolat ou plus précisément les flavonoïdes qu’il contient (mais tous ne s’accordent pas sur son incidence), les sulfites et tannins contenus dans le vin , le glutamate monosodique (qui n’est pas un aliment mais un exhausteur de goût, un additif alimentaire très répandu que vous trouverez sous le numéro E621), l’aspartame aussi, cet édulcorant artificiel que l’on retrouve dans les produits light, allégés, des boissons aux produits laitiers.
Faites attention à l’appellation « sans sucre » qui remplace le mauvais par le pire. On peut aussi mentionner les nitrites contenus dans les charcuteries, le lactose, le gluten, .. Il y aurait 22 facteurs déclencheurs recensés. Tous les migraineux ne réagiront pas aux mêmes stimuli. Chacun devra identifier la cause de ses crises et de facto, ajuster son style de vie et son assiette.
Quand la médecine traditionnelle s'en mêle
Si l’aspirine peut généralement soulager, elle ne peut s’envisager sur le long terme à cause de ses effets désastreux sur l’estomac. D’autres anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont régulièrement prescrits mais ils ne suffisent parfois pas à soulager le patient.
Les antalgiques dits « complexes » càd combinant paracétamol et opioïde sont à déconseiller au maximum car ils conduisent à la dépendance et à l’abus.
Une autre catégorie de médicaments appelés « triptans » sont proposés, parfois en association avec les AINS si la crise ne diminue pas rapidement. Les triptans stimulent certains récepteurs de la sérotonine et réduisent la dilatation des vaisseaux sanguins. Mais cette vasoconstriction induite est contre-indiquée en cas de maladies cardio-vasculaires. Il est même conseillé d’éviter ce type de médicament après 65 ans.
Ils peuvent être la cause de vertiges, de fatigue, de sueurs froides, d’hypertension artérielle, de sensation d’oppression de la poitrine ou de la gorge. La plus grande prudence s’impose si vous prenez d’autres médicaments en même temps qu’un triptan, notamment les antidépresseurs.
Voie sans issue pour les migraineux ?
Maladie envahissante, paralysante, handicapante où vous devez choisir entre un mal déchirant et une médication incertaine, aux effets secondaires calamiteux ? Pas forcément.
Tout d’abord, sachez que le sport est plus bénéfique qu’il n’y parait. C’est un fabuleux exutoire pour une action antistress reconnue et approuvée par le corps médical. L’activité sexuelle est même chaudement recommandée en cas de migraine pour soulager la douleur.
Les 3 plantes vous seront également d’un très grand secours
Le « Tanacetum parthenium » ou grande camomille est traditionnellement utilisée pour réduire la douleur et les symptômes de la migraine comme les vomissements et la sensibilité au son et à la lumière. Elle possède des propriétés anti-inflammatoires assez exceptionnelles. Cette plante médicinale possède de plus en plus d’applications thérapeutiques reconnues. Utilisée depuis les Grecs anciens, elle était utilisée comme antipyrétique et connue plus tard sous le nom d’aspirine médiévale.
Elle agit comme inhibiteur de la synthèse des prostaglandines et possède également des propriétés analgésiques. Le Tanacetum parthenium est bien connu pour soulager les migraines sans effet secondaire.
Autre atout de la nature, le nard indien, aussi connu sous le nom de nardostachys jatamansi, est une plante de la famille des valérianacées que l’on retrouve au Népal. Elle a des vertus apaisantes car elle agit au niveau de la sérotonine et du GABA, qui sont impliqués directement dans les crises de migraines.
Quand vous combinez ces plantes au « salix alba » ou l’écorce de saule blanc, vous avez alors un produit très complet qui permet une action anti-douleur, anti-inflammatoire qui diminue l’intensité des crises tout en ménageant votre estomac. Véritable aspirine naturelle d’où elle tire son nom, l’écorce de saule blanc est un fabuleux anti-douleur. Très puissant, il soulage les maux de tête et la fièvre. Il est déconseillé aux femmes enceintes, aux enfants et aux personnes atteintes de maladies rénales.
Alors on arrête de se prendre la tête avec la migraine. Soignez-vous au naturel, soulagez vos symptômes et la fréquence des crises pour retrouver une vie normale.
PhytoMig
Phytomig est un complément alimentaire naturel qui soulage les migraines chroniques et diminue leur fréquence et leur intensité. Il contient différentes plantes telles que de la grande camomille, du saule blanc et du Nard indien.
Références :
https://www.ffn-neurologie.fr/grand-public/maladies/la-migraine
https://www.inserm.fr/dossier/migraine/
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3210009/
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/17163262
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