Chère lectrice, cher lecteur,
Il ne se passe pas un jour sans que les journalistes ne fassent l’éloge de la « transparence ».
Hélas, la transparence, c’est toujours pour nous, les citoyens ordinaires. Elle rencontre quelques obstacles plus sérieux quand il s’agit de l’Etat et des laboratoires pharmaceutiques – curieusement.
Mais l’histoire, vous la connaissez déjà. Quand les secrets de la médecine médicamenteuse éclatent au grand jour, ils ont déjà fait des ravages dans la santé publique, et détruit des vies en masse.
Les personnes qui ont fait éclater ces secrets y ont laissé leur carrière, leur réputation, quand ils n’y ont pas laissé leur vie.
Je me souviens ainsi d’un lanceur d’alerte qui avait fait mention d’une tentative d’intimidation un peu trop musclée sur sa personne, pendant la période Covid. Et j’ai assez souvent reçu ce type de témoignages pour les prendre au sérieux.
Mais s’il y a un secret qui sauve le quidam que nous sommes, vous et moi, vous le connaissez déjà : c’est le secret médical.
Ce secret médical est ce qui permet que personne ne fasse pression sur vous, ne profite de votre état de santé pour menacer votre emploi, votre statut social, ou vous extorquer de l’argent.
Pourtant, le secret médical, comme tout le reste de votre vie privée, n’a jamais été aussi menacés par la numérisation de la société.
Or, contrairement à ce qu’on veut vous faire croire, ce n’est nullement une fatalité.
Pourquoi le secret médical ?
Le secret médical est ce qui permet d’établir une relation de confiance entre le médecin et son patient. Ce qui se dit entre eux reste entre eux, cela relève de l’intime.
Rien ne doit briser ce lien qui est le fondement éthique de la médecine.
Hélas, ce secret est mis à mal par la numérisation de la société. Les médias vous font croire que cette numérisation est inéluctable, qu’on ne reviendra pas en arrière, que c’est « le sens de l’histoire »…
Ces formules, vous les avez entendues trop souvent pour qu’elles soient honnêtes. Elles ne reposent que sur une seule petite idée : c’est pratique. Mais tout ce qui est pratique n’est pas bon à prendre, n’est-ce pas ?
Le meilleur exemple de cela, c’est que faire un virement bancaire avec votre application sur téléphone est beaucoup plus simple que de faire un chèque, qui en est l’équivalent papier.
Mais le jour où votre banque fait faillite, vous pouvez vous retrouver comme au Liban, en Grèce ou en Argentine – avec rien du tout. Il aurait mieux valu garder vos valeurs à la maison bien protégées.
Ceci prouve que le numérique doit rester un outil, car ce n’est qu’une dématérialisation. Mais elle n’abolit pas le réel, et le réel, c’est ce qui vous appartient.
Car tout ce qui reste trop longtemps numérique finit par être piraté, fraudé, accaparé. Ce ne sont que des codes, et les codes sont faits pour être cassés.
Les malins le savent et prennent leurs précautions, comme ces personnes qui ont des portefeuilles de cryptomonnaies déconnectés.
Les autres… se font avoir un jour où l’autre, et les conséquences peuvent être terribles.
Ne donnez jamais rien d’intime
Voilà pourquoi il faut absolument refuser d’avoir vos données médicales en ligne, quelles que soient les garanties que l’on vous donne à ce sujet.
Ces « garanties » ne sont que des preuves de la malveillance des acteurs engagés.
En Inde, ils sont coutumiers du fait, et il y a encore eu un scandale à ce propos, en juin dernier, où les données médicales des personnes vaccinées ont été piratées[1].
Ces données sont immédiatement rachetées par les mutuelles, qui peuvent ainsi constituer des dossiers sur vous. Les banques aussi, pour savoir si elles peuvent vous attribuer des prêts ou pas.
Après tout, si pirater vos données est illégal, les acheter l’est déjà beaucoup moins.
Une fois que des information cruciales sur votre vie et votre santé sont possédées par une entreprise, qui ira regarder comment elles ont été acquises ? Personne.
Je reconnais que ce changement de société est difficile à accepter psychologiquement.
Jadis, l’Etat protégeait des valeurs aussi essentielles que le secret médical. Maintenant, il est complice de la « société de surveillance », dont vous gagnez à vous cacher autant que possible.
Certains d’entre nous préfèrent laisser tomber et jouer la carte de la « transparence ». Je le comprends, c’est parfois difficile de se battre contre le « système ». Mais tôt ou tard, il faut payer le prix d’appartenir au système.
Et ce prix peut être très élevé. Ce qui est pratique n’est pas gratuit, bien au contraire.
Combien ont regretté, après avoir eu des effets secondaires terribles, et quelques fois mortels, d’avoir cédé aux sirènes de la « vaccination » Covid ? Tout ça pour jouer le jeu de la transparence qu’exigeait le passe sanitaire ?
J’ai assez parlé de ces effets secondaires de masse dans mes précédentes lettres, et je crains de n’en avoir pas fini.
Passe sanitaire mondial – Jamais !
Sans que les citoyens appartenant à l’Union Européenne n’aient été consulté, le système de passe sanitaire européen a été transféré à l’OMS[2].
Il est impossible de savoir si les données qu’il contenait l’ont aussi été, mais il n’y a pas de raison que ce ne soit pas le cas.
L’idée est de mettre en place les systèmes informatiques pour créer un passe sanitaire international dès que sera déclarée la prochaine « pandémie ».
A ce compte-là, la masse des données acquises et capables d’être collectées représente un tel trésor financier, que la convoitise sera trop forte.
Il suffira ainsi de déclarer le prochain rhume ou la prochaine grippe « pandémie », pour voir l’essentiel de votre secret médical voler en éclats. Et ce n’est pas l’éthique qui étouffe les organisation internationales.
Car, je le répète autant que nécessaire : les données médicales sont un trésor financier qui dépasse l’imagination.
Posséder vos données médicales permet d’exiger de vous des primes de mutuelles plus élevées, des crédits bancaires plus chers, mais aussi des injections expérimentales qui rapportent elles aussi des milliards.
Posséder les données de 7 MILLIARDS de personnes, vous arrivez à vous imaginer la manne que cela représente ?
Le crédit social à la chinoise, un modèle ?
Le passe sanitaire mondial est aussi un formidable outil de contrôle social. Il suffira qu’on exige de vous que vous le présentiez pour faire de vous une marionnette.
D’abord, cela commence par le contrôle aux frontières.
Il suffit que vous viviez dans un pays en proie au chaos (cela arrive même à la France récemment), et l’on pourra vous interdire de vous rendre à l’étranger.
Cela peut être une question de vie ou de mort si vous devez vous réfugier chez des amis ou de la famille, et l’on pourra tout exiger de vous pour vous donner une simple autorisation.
Quand on voit comment a été respecté le consentement libre et éclairé des personnes injectées pendant la pandémie, on comprend tout le mal qu’on peut nous faire.
Mais après, l’idée est de vous demander votre passe santé en permanence, de façon à faire de votre existence une prison à ciel ouvert.
Vous sortez de chez vous ? Mais vous avez lu la lettre du Dr. Schmitz la semaine dernière… Vous risqueriez de répandre l’esprit critique en parlant à quelqu’un – on vous interdira donc d’entrer partout, à la piscine, au supermarché…
C’est déjà une réalité quotidienne en Chine, et les caméras vous traquent partout où vous allez, elles vous identifient et connaissent immédiatement votre score social.
Un outil tel que le passe sanitaire international n’aurait plus à rendre des comptes à la population française, ou belge ou canadienne. C’est l’outil parfait pour mettre en place un « crédit social à la chinoise » international.
Votre conformité à l’ordre établi, comptée sous forme de points, sera évaluée en permanence. C’est ce qu’appelle de ses vœux le très puissant Klaus Schwab[3], qui a fait l’éloge de la Chine à ce titre en 2022.
Dictature sanitaire, dictature définitive
En ce moment, nombre d’Etats dans le monde, pris d’une passion répressive ou d’un fort désir de contrôler leur population, veulent complètement dématérialiser la monnaie.
Une monnaie complètement dématérialisée, sans recours aux espèces, est un traçage permanent. Si vous êtes suspect au régime, on peut aussi vous interdire d’acheter, d’épargner, vous plonger dans la misère.
Car c’est le citoyen qui fait le pays où il vit et la politique de santé qu’il mérite. Sans vie privée, sans intimité, alors rien n’empêche que nous vivions sous la pire des dictatures possibles.
Au début, on vous dira qu’il est facile de vous conformer aux exigences sociales requises, mais au fur et à mesure, vous vous rendrez compte que même vos regards seront traqués, et même votre exigence d’une nourriture saine sera perçue comme déviante.
Il vaut mieux manger des insectes bourrés de parasites, c’est plus écologique. Il vaut mieux éviter de vous déplacer aussi. Et puis, niveau médecine, on vous obligera à prendre tout et n’importe quoi – c’est pour le bien commun.
Accepter d’être surveillé comme un esclave, c’est devenir peu à peu un esclave. Et les esclaves, parce qu’ils n’ont aucune chance de se révolter, n’ont aucune chance d’être bien traités. Leur espérance de vie est courte.
Le linky, surveillance à la maison
Le Linky, compteur numérique d’électricité, n’a absolument aucune raison d’être du point de vue de l’usager.
Pire encore, comme nous en avions parlé dans une précédente lettre, il augmente les factures des consommateurs, espionne ses consommations, et représente un danger du point de vue électro-sensibilité.
Il y a aussi eu des cas où le Linky a explosé…[4]
On pourrait s’attendre à ce que le gouvernement cède devant la fronde anti-Linky, qu’il renonce à espionner la consommation électrique de ses administrés. Bref, qu’il se rappelle qu’il travaille pour les contribuables !
Que nenni ! Le gouvernement ment directement sur le site de la transition écologique, en assénant des mensonges éhontés, comme le fait qu’aucune collectivité ne peut refuser un tel compteur. Ce qui est faux, naturellement[5].
Mais dernièrement, la répression est allée encore plus loin, puisqu’un homme s’est vu couper l’électricité dans son appartement, de façon complètement illégale, pour avoir refusé le compteur numérique[6].
Il payait ses factures avec régularité. Il dépend de l’électricité pour son respirateur artificiel. Mais la vie d’un homme malade pèse peu de nos jours.
Ne parlons même pas du pouvoir gouvernemental que représente la capacité de vous couper le courant à distance. Outil d’oppression qui n’attend que d’être utilisé.
Ce n’est pas seulement un retraité malade que l’on menace. Nous pourrions tous, à l’avenir, nous retrouver dans une situation semblable, pour refus d’obtempérer à la surveillance numérique généralisée.
Arriverons-nous un jour à ravoir des dirigeants qui respectent nos droits les plus élémentaires, et qui arrêtent de se servir de tous les prétextes pour nous surveiller ?
Quand reviendra le temps où le citoyen surveillera le gouvernement qui travaille pour lui, et non l’inverse ?
C’est à vous de l’exiger.
Portez-vous du mieux du monde,
Marc Turenne
Sources
[1] https://www.bloomberg.com/news/articles/2023-06-12/india-probes-reports-of-covid-portal-breach-personal-data-leak
[2] https://www.20minutes.fr/sante/4040102-20230606-oms-veut-lancer-pass-sanitaire-mondial-inspire-certificat-covid-europeen
[3] https://report24.news/klaus-schwab-china-ist-ein-vorbild-fuer-viele-laender/
[4] https://www.ladepeche.fr/2021/08/09/vrai-ou-faux-un-compteur-linky-peut-il-reellement-prendre-feu-9722946.php
[5] https://www.ecologie.gouv.fr/reseaux-electriques Il existe aujourd’hui des collectivités entières qui refusent à juste titre ce compteur.
[6] https://halteaucontrolenumerique.fr/?p=3039
Le passe sanitaire mondial – jamais