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Le dioxyde de chlore, ce remède haï de Big Pharma

Chère lectrice, cher lecteur,

J’ai eu beaucoup de courrier concernant cet étrange remède qu’est le dioxyde de chlore, et j’ai voulu en savoir un peu plus. 

Une chose est sûre : ce remède énerve énormément l’industrie pharmaceutique, et rien que pour cela, il mérite d’être discuté. 

D’autant qu’il peut rendre des services particulièrement utiles contre les séquelles de la pandémie…

La panacée à portée de main ? 

Le dioxyde de chlore est un composé assez simple, que l’on retrouve sous diverses formules.  

Quand je l’ai moi-même essayé, c’était sous la forme dite MMS (miracle mineral solution). 

Il s’agit d’une préparation qui consiste à mélanger deux éléments, le chlorite de sodium et l’acide citrique. On attend une demi-minute environ, et le liquide devient jaune sombre. Puis on dilue avec de l’eau…  

La seconde réaction se fait dans l’estomac, où le dioxyde de chlore, un gaz, se forme au contacte de l’acidité de l’estomac. 

Je dois reconnaître que j’ai eu deux effets très différents : le premier était libératoire, le second un peu plus gênant. 

D’abord, mon corps était passablement encombré d’organismes et de particules néfastes, et j’ai rapidement senti un mieux être. 

Mais aussi, rapidement, j’ai dû arrêter ma cure après un mois, car mon système digestif était un peu trop délicat… 

Toutefois, il existe d’autres formes de dioxyde de chlore plus simples à ingérer, comme le CDS (Chlorine Dioxide Solution). Hélas, cette dernière s’évapore au-dessus de 11°, ce qui le rend plus difficile à conserver. 

Il existe également des médecins qui injectent du dioxyde de chlore à leurs patients. Et des professeurs de médecine, particulièrement des cancérologues tels que Laurent Schwartz de l’AP-HP, qui en font un usage extensif. 

Il s’agit donc d’un remède d’importance… qui représente une véritable catastrophe pour l’industrie pharmaceutique ! 

Efficace contre les protéines spike (et bien plus encore)

Chassez un remède par la porte, il revient par la fenêtre. 

C’est ce qui s’est passé avec le dioxyde de chlore. Il s’agit d’un petit concentré chimique qui consiste à basifier l’organisme et à le nettoyer en profondeur

Il le fait en oxydant spécifiquement les éléments étrangers au corps humain.

Certes, dans ce cas, nos cellules subissent une pression oxydative, mais elles sont infiniment mieux capables d’y résister que les éléments nocifs à notre corps, qui peuvent pourtant pulluler jusqu’à nous rendre mortellement malade. 

Et cela joue aussi sur le cancer – voilà la raison pour laquelle il est utilisé par un oncologue aussi prestigieux que le professeur Schwartz. 

Il se trouve que nombre de mes patients se sont tournés vers lui, lorsqu’ils ont eu des problèmes de santé dus au Covid19, grand producteur de protéines spike, ces « spicules » extrêmement inflammatoires. 

Ce recours a été encore plus fréquent chez les « vaccinés » qui ont subi les injections expérimentales ARNm. Car elles ont consisté à faire fabriquer par le corps des légions entières de ces protéines toxiques. 

Le dioxyde de chlore, quand et comment ? 

Pour l’instant, le dioxyde de chlore est soit utilisé de façon empirique par ses partisans, soit de façon plus soutenue par certains médecins.

Mais aujourd’hui, ce qui prouve le mieux sa réussite, est l’horreur qu’il suscite chez l’industrie pharmaceutique ainsi que chez nombre de spécialistes.  

En effet, il aurait la capacité d’agir contre les maladies là où l’on trouve, d’après le professeur Schwartz, le triptyque inflammation, déficience mitochondriale et sécrétion d’acide lactique

Or ce triptique caractérise de nombreuses maladies chroniques, qui sont des rentes pour l’industrie pharmaceutique. 

Des maladies telles que la cirrhose, l’arthrose, l’autisme, le cancer, la maladie d’Alzheimer et de Huintington, l’infarctus, l’insuffisance cardiaque, la fibrose, l’emphysème… 

Cela signifie que l’on a trouvé un point où le corps commence à dysfonctionner en profondeur et où une saine oxydation peut y remédier par son effet nettoyant. 

Et des médecines aussi prometteuses pour l’avenir que peu chères à produire sont la hantise de l’industrie pharmaceutique. 

Car même si le dioxyde de chlore n’était pas la panacée que décrivent ses partisans, le simple fait d’arriver à être efficace et peu cher face aux maladies chroniques, cela représente un progrès considérable.  

Rien à voir avec l’eau de Javel

Voilà pourquoi on ne s’étonne plus que l’industrie pharmaceutique perçoive le dioxyde de chlore comme un danger, comme l’a souligné à juste titre le magazine Nexus dans son numéro 151, et qui y a consacré un dossier complet. 

Ce titre reprend en grande partie les travaux et la cause du biophysicien allemand Andreas Kalcker, véritable réprouvé de la médecine allopathique.  

L’AFP lui a d’ailleurs consacré un « fact-checking », c’est-à-dire un article violent, à charge, et sans autre preuve que des avis d’experts bien implantés dans le milieu                         médico-pharmaceutique  [1]

Cet article reprend d’ailleurs la plupart des caricatures sur le dioxyde de chlore, notamment celle que le confond avec l’eau de javel… 

C’est notamment ce qui s’est passé la seule fois où Donald Trump en a parlé publiquement. Et croyez-moi, si j’avais fait une cure d’eau de Javel, je ne serai pas là à écrire un article sur la question. 

Je pense seulement que l’ozonothérapie est plus efficace que le dioxyde de chlore. D’autant que celui-ci peut mener la vie dure à votre flore intestinale sous sa forme MMS. 

Un autre aspect important est la contradiction avec une cure de vitamine C par exemple, ou de tout autre antioxydant. Si vous avalez le dioxyde de chlore avec du jus de pamplemousse par exemple, il ne sert à rien. 

Car il se trouve que le dioxyde de chlore implique une oxydation légère de l’organisme afin de détruire autant que possible ce qui n’y a pas sa place.

Or cela entre en contradiction directe avec la compensation de l’oxydation des cellules par les antioxydants que vous trouvez aussi bien dans les oranges que le thé et bien d’autres aliments et boissons. Sans parler des cures spécifiques. 

Vous ne risquez pas grand-chose à essayer

Voilà pourquoi je pense qu’une cure annuelle de dioxyde de chlore peut être spécifiquement recommandée dans les cas de pollution sérieuse du corps, où les patients n’ont pas les moyens de tenter autre chose. 

C’est ainsi que nombre de mes patients m’ont confié en avoir fait une pour se débarrasser des méfaits des protéines spike dues aux injections ou non. 

Et la plupart se sont en même temps débarrassés d’affections diverses et variées qu’ils « traînaient » depuis longtemps. 

Pour la chélation, c’est-à-dire le retrait des toxiques et des métaux lourds, je recommande toutefois des cures plus douces.

Car le dioxyde de chlore peut faire un petit choc qui, sans conséquence profonde pour la santé, peut être fort désagréable. 

Il est même certaines personnes qui ne peuvent tout simplement pas l’avaler, comme si les parasites de leurs corps le leur interdisaient, exactement comme les micro-champignons donnent des fringales de nourriture sucrée.

Mais il n’a jamais été dit que les bons remèdes sont faciles à prendre… 

Portez-vous bien,

Marc Turenne 



Sources : 

 [1] :  https://factuel.afp.com/doc.afp.com.9WZ4T3



Marc Turenne 26 avril, 2024
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