Chère lectrice, cher lecteur,
Laissez-moi vous parler brièvement de ce sujet ô combien délicat.
Cela fait depuis les années 1940 que les chercheurs ont commencé à chercher à modifier le climat, en cas d’hiver consécutif à une guerre nucléaire.
C’est un rapport du CNRS et de l’agence française pour la recherche qui nous l’apprend1.
Depuis les techniques se sont beaucoup affinées, et effectivement il est possible d’altérer le climat.
D’autant que si nos « démocraties » considèrent le sujet comme tabou, il ne l’est nullement dans des pays non-démocratiques, comme la Chine ou le Maroc par exemple.
Cela pose des questions considérables pour la santé de chacun, car les particules pulvérisées dans l’atmosphère ont une nocivité potentiellement incommensurable pour nous.
Hélas, nous vivons dans un monde d’expérimentations technologiques.
Or nous voulons vivre dans un environnement sain, nous voulons vivre sainement et ne pas prendre des médicaments par poignées entières.
Raison pour laquelle nous devrions plus souvent regarder le ciel et nous interroger sur ces longues traînées louches qui le sillonnent depuis trop longtemps.
La fin de l’hystérie climatique ?
Donald Trump a dit à multiples reprises ce qu’il pensait du réchauffement climatique : une « arnaque » ou un « canular ». Il a réitéré ses propos après son élection.
Et même si ses détracteurs sont légion, Trump soulage la population américaine. Ceci pour deux raisons :
Vous ne pouvez pas exiger d’un peuple qu’il travaille dur et en même temps qu’il culpabilise pour son mode de vie.
Vous ne pouvez pas promettre le mieux être alors que le programme écologiste consiste essentiellement dans de la décroissance, c’est-à-dire à décourager la croissance.
Le discours climatiste sert essentiellement à éloigner les pollutions des centres-villes où vit la population la plus aisée.
Elle sert aussi à asservir une population qui, sans moyen de production, n’est plus capable de se révolter ou de faire pression sur les détenteurs du capital productif.
On le voit avec les agriculteurs : ils sont les derniers à être capables de se faire entendre des gouvernements européens. Raison pour laquelle il est question de les faire disparaître.
Le peuple étant conditionné à se taire et culpabilisé depuis la plus tendre enfance, il ne saurait voter contre les médias qui le travaillent chaque jour.
On notera à ce titre que, tandis que la population entière se sent concernée par l’écologie, le climatisme sous ses formes les plus zélées est un marqueur d’appartenance à la bourgeoisie de centre-ville.
Le réchauffement climatique a du plomb dans l’aile
Qui croit encore dans la clique des « experts » universitaires spécialisés dans le catastrophisme ? Les médias surtout.
Ce raisonnement failli a été battu en brèche par des auteurs plus sérieux et moins inféodés à la finance. Comme Steven Koonin aux États-Unis, ancien conseiller d’Obama, et Christian Gérondeau en France.
Mais, me direz-vous, il y a effectivement un réchauffement climatique, et il serait dû à l’augmentation du taux de carbone dans l’atmosphère.
D’abord, le réchauffement climatique semble plutôt être dû à la chaleur même du soleil qui est variable de décennie en décennie. C’est tout de même lui la cause de la chaleur sur Terre.
Ensuite, le carbone ne représente qu’une quantité infime de l’atmosphère (0,04%), et l’activité humaine n’est responsable que de 5% de l’émission de ce carbone.
Les experts climatistes ont beau faire valoir que cela change tout, comme de « l’encre de chine dans l’eau », on doute que 0,002% d’encre de chine rajoutée dans « l’eau » de l’atmosphère par l’industrie humaine y change quelque chose.
D’autant que, du temps des dinosaures, le taux de carbone était 5 fois supérieur à celui d’aujourd’hui2, et la flore, qui se nourrit de carbone, n’a jamais été aussi… florissante.
Mais il faut pouvoir culpabiliser la population, notamment en lui faisant acheter des produits « verts » qui rendent son mode de vie plus coûteux mais pas moins polluant.
Et puis, que seraient nos entreprises si elles ne pouvaient pas faire fabriquer des produits industriels à l’autre bout du monde, par des esclaves ou des quasi-esclaves ?
Que seraient nos sociétés si elles devaient redonner du pouvoir d’achat à des personnes qui aiment leur pays et son histoire ?
Que seraient nos politiques s’ils ne pouvaient passer des marchés fructueux pour bétonner les campagnes avec des éoliennes ?
Alors pour cela, il est important de VOIR des catastrophes climatiques.
Le « vertige consommé de la catastrophe »
Peu importe que l’on nous ait fait croire, dans les années 70, que nous allions vers une congélation universelle.
Puis dans les années 1980, que les pluies acides allaient détruire forêt après forêt, et que la couche d’ozone n’allait plus nous protéger du soleil.
Puis dans les années 1990, ce fut au tour des Maldives d’être promises à s’enfoncer sous les eaux dans les dix ans – et elles sont toujours là…
Il semblerait que le niveau des eaux n’ait pas beaucoup monté depuis les déluges consécutifs à l’ère glacière…
Mais le réchauffement climatique peinant à se prouver d’année en année, il est nécessaire de remplacer ce discours par celui du « bouleversement » climatique.
Pour cela, il faut enregistrer des pics de chaleur, et voir se produire des catastrophes devant nous.
C'est alors qu’intervient la géo-ingénierie : la modification du climat, normalement ponctuelle, mais qui tend à se généraliser.
Car nous avons besoin de vivre dans ce que le philosophe Jean Baudrillard, dès 1969, dans La société de consommation, appelait le « vertige consommé de la catastrophe » :
Pour que nous nous contentions d’une consommation de plus en plus artificielle et désormais, de plus en plus frugale, il faut nous donner le spectacle permanent de drames qui se déroulent de l’autre côté de l’écran.
Dès lors, nous pouvons nous satisfaire de notre « peau de chagrin » : notre avoir que l’inflation réduit de mois en mois.
C’est d’ailleurs la finalité première de nos bulletins d’information, qu’ils soient télévisuels ou autres…
Ce n’est qu’une petite famine mondiale après tout
La géo-ingénierie, ce sont donc les techniques de manipulation du climat par épandage de substances dans l’atmosphère. Les Américains ont commencé à obtenir des résultats dans ce domaine dès la guerre du Viêt-Nam.
Cependant, cela n’a rien à voir avec ce que nous vivons actuellement : des traînées relâchées par avions sillonnent désormais le ciel comme jamais auparavant.
C’est simple, dès qu’on voit un peu de temps clair, les traînées sont là, et si elles ont été diffusées tôt, c’est un voile qui s’étend sur tout le ciel.
Le sujet reste tabou dans les pays occidentaux, car les exigences démocratiques obligeraient à dévoiler à la population ce qui est diffusé.
On nous parle évidemment de réduire le réchauffement climatique, alors qu’il s’agit dans ce cas d’imiter les grandes éruptions qui ont causé jadis des effondrements de la production agricole tels qu’ils ont fait vaciller la civilisation.
C’était en particulier le cas du projet ScoPex3 financé en partie par notre champion de l’humanisme Bill Gates4.
Ce projet a dû être arrêté, à cause d’une interdiction de la part des autorités suédoises, car la diffusion de particules renvoyant les rayons du soleil à très haute altitude auraient pu… créer une famine mondiale.
Bien sûr, ces choses là sont relatées par le journal du MIT dans des termes mieux choisis. Sans compter la catastrophe écologique qu’un tel épandage aurait suscité.
Mais en termes de catastrophes, nous ne sommes pas au bout de nos peines…
Qu’est-ce qu’ils nous font respirer ?
La géo-ingénierie ordinaire que nous subissons consiste à « ensemencer » les nuages pour faire tomber la pluie. Elle utilise à cette fin deux éléments chimiques, l’iodure d’argent et le sel.
L’idée de faire tomber du sel sur des territoires entiers – ce qu’on faisait dans l’Antiquité pour « maudire une cité » et rendre son sol infertile5 – ne semble pas être la meilleure idée du monde…
Mais l’iodure d’argent, s’il n’est pas franchement toxique pour l’être humain, peut avoir des répercussions catastrophiques pour l’environnement, c’est-à-dire pour la faune et la flore.
C’est là qu’on voit la pensée écologiste (de l’écologie politique) à l’œuvre : détruire la nature sous prétexte de la protéger.
Ainsi, l’iodure d’argent est nocive pour les micro-organismes, or ils sont à la base même de la chaîne alimentaire.
De plus, l’iodure d’argent représente un risque pulmonaire évident dans la mesure où il est utilisé très régulièrement6.
Et visiblement, il l’est. Il n’y a qu’à voir la position des nations non-démocratiques, très en faveur de ce genre de procédés.
Chine, Dubaï, Espagne : du contrôle au dérapage
Ainsi la Chine a fait en sorte, dès 2008, qu’il ne pleuve pas durant la totalité des Jeux Olympiques de Pékin, dans un pays où les pluies sont souvent abondantes.
Elle a également dépensé des centaines de millions de dollars (officiellement) dans des programmes pour faire pleuvoir dans le désert7. Nous étions alors les seuls à nous en être fait l’écho dans le monde francophone.
D’autant que ces programmes suscitaient déjà des inquiétudes dans les pays limitrophes.
En effet, quand il pleut dans un endroit, il ne pleuvra pas dans un autre. Et si l’effet est mal dosé, ou si les vents sont trop coriaces, d’autres pays peuvent se retrouver avec des déluges qu’ils n’ont pas demandé.
Quand ces déluges ne viennent pas directement frapper le pays commanditaire, qui se retrouve alors sous les eaux.
Ce fut le cas de Dubaï, dans les Émirats Arabes Unis, qui se sont retrouvés sous les eaux après avoir ensemencé les nuages la veille et l’avant-veille du déluge qu’elle a subi8. C’était en avril dernier.
Évidemment, le déluge est, d’après la BBC, une des conséquences du réchauffement climatique… dans un article qui donne pourtant tous les éléments pour penser qu’il a été alors tout à fait artificiel.
Mais il est aujourd’hui temps de se demander si l’Espagne, qui a subi des inondations mortelles il y a quelques semaines, n’ont pas, elles aussi été victimes d'un ensemencement un peu trop abondant.
En effet, comme l’a étayé récemment le magazine Nexus, le Maroc, voisin de l’Espagne, se vante d’être le champion africain de l’ensemencement des nuages !9
Il est dès lors évident qu’il serait possible de faire pleuvoir sur un pays à des fins nocives, surtout si son aviation est faible et que le commanditaire de l’attaque n’est pas limitrophe.
Bien sûr, ces guerres climatiques n’auront jamais lieu – tout cela n’est que du réchauffement global dû à NOTRE consommation de méchants pollueurs.
Dormons bien, l’État bienveillant et démocratique veille sur nous…
1https://archive.wikiwix.com/cache/display2.php?url=http%3A%2F%2Fminh.haduong.com%2Ffiles%2FBoucher.ea-2014-RapportFinalREAGIR.pdf
2 https://planet-terre.ens-lyon.fr/ressource/co2-depuis-4ga.xml
3 https://www.technologyreview.com/2024/04/04/1090626/the-hard-lessons-of-harvards-failed-geoengineering-experiment/
4 https://rendreledeserthabitable.com/fin-de-partie-pour-scopex-gloire-et-deboires-de-la-geo-ingenierie-solaire/
5 Salage de Sichem dans le Livre des Juges 9:45 ; légende du salage de Carthage par Scipion Emilien après la troisième guerre publique.
6 https://controverses.minesparis.psl.eu/prive/promo08/C08B8/iodureag.html#:~:text=L'iodure%20d'argent%20est,il%20se%20trouve%20en%20solution.
7 https://www.theguardian.com/world/2020/dec/03/china-vows-to-boost-weather-modification-capabilities
8 https://www.bbc.com/news/science-environment-68839043
9 https://www.nexus.fr/actualite/geo-ingenierie/ensemencement-nuages-maroc/
Le contrôle du climat, on en parle ?