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L’avalanche des effets secondaires


Chère lectrice, cher lecteur,

Il monte en ce moment une colère sourde. Elle s’étend chaque jour un peu plus dans la population. Elle a directement trait aux effets secondaires des « vaccins » Covid.

Un des aspects de cette crise, c’est la terrible crise de la natalité qui frappe les pays occidentaux, les plus « vaccinés » au monde. 

Devant l’ampleur du phénomène[1], les médias occultent les innombrables fausses couches, dont ils nient le lien avec l’injection ARNm avec beaucoup de vigueur.

Pourtant, il vous suffit de demander à n’importe quel gynécologue ou à n’importe quelle sage femme honnête ce qu’il en est : beaucoup de grossesses aujourd’hui n’arrivent pas à terme.

De leur côté, les militants « antivax » puisent dans un vocabulaire beaucoup plus fleuri pour qualifier cette chute de la natalité : « dépopulation », « génocide intentionnel ».

En effet, les risques qui ont été pris en inoculant un produit expérimental à une population saine, pour sauver une population en mauvaise santé, étaient démesurés.

En attendant une commission d’enquête assez rigoureuse, nous devons nous contenter des chiffres officiels. Ils n’en sont pas moins révoltants.  

 

Une gravité largement sous-estimée

Croyez-moi, j’aimerais ne plus jamais avoir à vous parler de la « pandémie ».

Mais les séquelles sont là, elles sont terribles – pire encore, elles se démultiplient.

J’ai déjà fait mention, ici, des chiffres insoutenables des effets secondaires graves de cette injection, rendus par le site officiel Eudravigilance, que vous pouvez aller consulter : ce sont des millions de cas recensés.

Prenons par exemple le « vaccin » Pfizer le plus administré, le Tozinameran, contre le Covid, naturellement.

On compte, pour la seule Europe, des chiffres considérables. Considérables, ça veut dire qu’ils se voient depuis les étoiles.

Ainsi, sur plus de 1 223 939 effets secondaires recensés pour ce seul « vaccin », au 5 juin 2023, on trouve 425 000 effets secondaires sur le système nerveux, dont 154 936 effets graves :

tableau


Vous voyez aussi sur le graphique, en violet, qu’il y a eu presque autant d’infections graves à la suite de cette injection (« infections and infestations »).

Mais il y a encore plus inquiétant.

 

Foudroyés par injection

Selon les professionnels européens, les effets secondaires recensés sont entre 2 et 5% pour les essais cliniques, entre 10 et 20% pour les centres de pharmacovigilance[1].

Donc tous les chiffres sur les effets secondaires peuvent au moins, en toute bonne foi, être multipliés par 5.

Des médecins encore inconnus du grand-public nous assurent que la pharmacovigilance pour les injections ARNm a été « particulièrement bien suivie ». Mais où sont leurs chiffres ?

Sachant la gravité des conflits d’intérêts à l’œuvre, il n’est pas vraiment question de les croire sur parole.

Bien des médecins se sont soustraits au signalement des effets secondaires. Ou alors, ils ont dissuadé leurs patients d’y avoir recours. Les témoignages sont nombreux.

Mais il faut reconnaître que l’Etat, mis sous pression, a dû jouer franc-jeu sur cette question-là. On peut aujourd’hui remplir sa déclaration d’effets secondaires sans y passer des jours entiers[2].   

Entre temps, où sont passés Mégarbane, Marty, Lacombe, Blachier ? Où est passé l’odieux Gil(bert) Deray, qui voulait faire vacciner tous les enfants de 5 à 11 ans ?[3]  

Dommage donc, que la nouvelle cohorte des apologistes de l’injection ARNm donne si peu de chiffres. Ils ont pourtant assez d’aplomb pour tenter de décrédibiliser Alexandra Henrion-Caude[4]

 

Pas le choix : on croise les doigts

Or Alexandra Henrion-Caude, généticienne et ancienne directrice de recherche à l’Inserm, a livré un ouvrage assez rigoureux[5] sur les vaccins ARNm.

C’est à la suite de cet ouvrage qu’elle a déclaré les vaccins Covid responsables de « turbo-cancers ».

Comme d’habitude, les dénégations des désinformateurs professionnels, auto-proclamés « fact-checkers », s’appuient sur des déclarations de médecins, jamais sur des études.

Et à ce jeu-là, les médecins interrogés n’ont pas eu la carrière du Dr. Henrion-Caude. De plus, leurs responsabilités administratives les rendent guère libres de leur propos.

Pourtant, des cancers foudroyants, j’ai commencé à en voir autour de moi. Mes « invitations » à des enterrements se multiplient.

On me répond presque à chaque fois, pour la cause de la mort du défunt, « qu’on venait de lui diagnostiquer un cancer ».

 

Des morts de cause inconnue ?

Hélas, le lien entre « vaccination » et turbocancers reste très difficile à établir, car on n’arrive pas à établir ce que fait l’injection ARNm au corps.

Sur ce point, la mauvaise foi des pouvoirs publics est légendaire. Il a fallu un demi-siècle pour faire reconnaître le caractère cancérogène du tabac, et un siècle pour l’amiante.

Et quand ce n’est pas le cancer qui est la cause de trépas inopinés, ce sont les problèmes cardio-vasculaires.

On a vu ainsi des caillots de sang, apparemment sous l’effet des spicules de l’injection ARNm, former comme des tiges de caoutchouc si longues qu’elles couraient sur des veines entières.

C’est le témoignage que me donne un ami qui travaille aux pompes funèbres, corroboré par de nombreux autres, venant de thanatopracteurs.

Ces effets secondaires ne sont pas une mince affaire, et j’espère pour tout le monde que ça n’ira pas plus loin qu’à présent.

Certains sont beaucoup plus alarmistes que je ne le suis[6]. Mais rappelons-nous que c’est la panique médiatique autour de la pandémie qui nous a conduits où nous en sommes maintenant.

Gardons donc notre calme pour le moment. Mais que cela ne nous empêche pas de demander des comptes.

Marc Turenne


Sources

[1] https://www.la-croix.com/France/Natalite-nombre-naissances-nouveau-tres-faible-avril-2023-05-25-1201268836#:~:text=La%20baisse%20de%20la%20natalité,moins%20qu%27en%20avril%202020

[2] Déclaration de Berlin sur la Pharmacovigilance, PAGE 276-6 • LA REVUE PRESCRIRE AVRIL 2005/TOME 25 N° 260

[3] https://signalement.social-sante.gouv.fr

[4] https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/sante/est-ce-qu-il-faut-vacciner-deux-millions-d-enfants-pour-en-sauver-dix-je-le-crois-le-plaidoyer-du-pr-deray-pour-la-vaccination-des-5-11-ans-contre-le-covid-19_AV-202111080571.html

[5] https://factuel.afp.com/doc.afp.com.336Z237

[6] Alexandra Henrion-Caude, Les apprentis sorciers, Albin Michel, 2023.

[7] https://expose-news.com/2023/04/17/deagels-2025-population-forecast-in-images/



Marc Turenne 8 juin, 2023
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