Chère lectrice, cher lecteur,
Voilà la confidence que me faisait mon oncle lors de mon dernier repas d’anniversaire.
Il se trouve que la taille de la prostate s’accroît pour ainsi dire de façon inéluctable après un certain âge chez tous les hommes.
Et parfois, cet accroissement devient la cause de véritables cancers.
Alors bien sûr, les jeunes médecins vous disent quelques fois que ces cancers ne valent même pas la peine d’être retirés, que l’on peut « mourir avec » sans se rendre même compte qu’ils ont existé.
Mais ce n’est pas le cas de l’hyperplasie de la prostate, cette tumeur qui est la moins bénigne de toutes :
Celle qui vous fait vous lever jusqu’à 10 fois dans la nuit et vous arrache à un sommeil déjà difficile.
Celle qui vous empêche de profiter de vos activités avec votre femme, vos enfants, vos amis.
Celle qui vous fait passer de longues minutes devant la pissotière en attendant que le petit liquide jaune daigne sortir (et la désagréable sensation que la tâche n’est jamais tout à fait accomplie).
Celle qui vous empêche de faire l’amour.
Il se trouve qu’il y a un remède que je recommande et qui peut vous faire beaucoup de bien.
Car les plantes peuvent vous résoudre beaucoup de vos problèmes. Si elles sont bien dosées… et si vous leur donnez leur chance.
La prostate, c’est très simple
La prostate est une petite balle dans le corps masculin. Elle sert à la fois d’aiguillage entre l’urine et le sperme, et elle permet la fabrication de liquide séminal.
Le problème est qu’avec l’âge, elle a tendance à gonfler.
A priori, cela serait dû aux mêmes changements hormonaux qui affectent la perte des cheveux chez l’homme (l’alopécie androgénique).
C’est-à-dire la transformation de la testostérone en DHT (par l’activité de la 5 alpha-réductase) et en œstradiol (dû à la 5 alpha-aromatase).
« Tumeur » signifie à l’origine « gonflement » : cela veut dire qu’un organe ou un tissu de votre corps produit plus de tissu qu’il n’en a besoin pour fonctionner.
Cet excès de chair pose deux problèmes : il peut empêcher le fonctionnement des autres organes voisins. Et il peut être le terrain pour la création de tissus qui oublient qu’ils font partie du corps tout en se nourrissant de lui :
C’est le cancer proprement dit.
Dans le cas de la prostate, le seul gonflement (la tumeur bénigne) de la prostate pose déjà un problème considérable : elle serre tellement le canal de l’urètre qu’il devient compliqué de vider votre vessie.
Or votre prostate est le boîtier de commande invisible de votre organe uro-génital visible (la verge). En couper une partie, même inutile, c’est prendre le risque de toucher les nerfs qui commandent à l’ensemble…
D’où l’importance de prendre grand soin de votre prostate, avant qu’elle ne devienne grosse comme une orange… et même si elle l’est déjà.
Choyez votre prostate (vous n’en avez qu’une !)
Une prostate, ça s’entretient. Il se trouve que les Asiatiques ont beaucoup moins de problèmes de prostate que les personnes d’origine européenne, qui en auraient encore un peu moins que les personnes d’origine africaine.
Si les Asiatiques sont quasiment épargnés, c’est grâce à l’EGCG (l’épigallo-catéchine-gallate).
Il s’agit d’un antioxydant qui est particulièrement efficace pour éviter le gonflement de la prostate1, comme l’a démontré une étude dès 2017.
Cela avait déjà été prouvé sur la population japonaise, avec une immense étude faite sur près de 50 000 personnes2.
La forme de thé vert qui concentre le plus l’EGCG est le matcha, c’est-à-dire un thé concentré sous forme de poudre. Vous pouvez en commander très facilement désormais en le commandant sur internet.
Mais les autres formes de thé vert ne sont pas négligeables non plus !
Et les Chinois, qui ne boivent pas de matcha (du moins traditionnellement), ont longtemps bénéficié d’une semblable protection, même si l’alimentation à l’américaine a commencé à accroître leurs problèmes.
Ceux-ci ont d’ailleurs cherché à savoir ce qu’il en était exactement concernant l’activité sexuelle et la prostate. En effet, les bienfaits de l’activité sexuelle avaient récemment été remises en cause.
Or il se trouve que faire marcher votre prostate par une activité sexuelle en solitaire ou pas, vous permet de continuer d’entretenir votre prostate, et qu’elle est donc hautement recommandée3.
Et cela vaut quel que soit votre âge. Même si, soyons clairs : il faut plusieurs tasses de thé vert par jour pour que cela fonctionne (5 pour être sûr), et le mieux est de s’y prendre le plus tôt possible…
Or, même dans ce cas, que faire si le gonflement a commencé ? C’est là que les plantes peuvent BEAUCOUP vous aider.
Mettez un coup de frein à vos ennuis de prostate
Le test PSA consiste à évaluer vos risques de cancer de la prostate. Mais qu’il soit positif ou pas, les problèmes de gonflement de la prostate sont eux bien réels.
La difficulté est qu’à moins d’une chirurgie très invasive et très dommageable pour votre appareil génital, il semble impossible d’accéder à ce petit ballon prostatique. Sauf…
Sauf avec l’UROBOOST.
En effet, ce remède 100% végétal et naturel, prend en étau votre prostate pour réduire ses risques de grossissement. Elle agit ainsi sur deux aspects de la santé de ce petit organe.
Le premier est celui du vieillissement masculin : le grossissement de la prostate est lié à la transformation de la testostérone.
Or celle-ci peut être cassée par une petite plante : l’épilobe parviflore, qui a une haute concentration en œnothéine B (plus de 5%).
Cette substance extrêmement précieuse réduit drastiquement votre taux de DHT, c’est-à-dire l’éventuelle transformation de votre testostérone en un produit nocif pour votre prostate (et pour vos cheveux aussi…)
Cela a d’ailleurs enfin été éprouvé en 2021 dans les plus parfaites conditions scientifiques4.
L’autre pince de l’étau est la présence de pidolate de zinc, du zinc obtenu par un acide aminé d’origine végétale. En effet, la prostate est l’organe du corps qui a la plus importante concentration de zinc de l’organisme.
Or en cas de prostatite ou de tumeur bénigne, il a été avéré une forte baisse de la présence de zinc dans l’organisme. Et il réduit lui aussi l’effet de la 5 alpha réductase, qui change votre testostérone en DHT…
Enfin, « cerise sur le gâteau », les polyphénols contenus dans l’épilobe semblent réduire les effet secondaires des traitements anticancéreux sur les cellules saines.
Et en plus, ils favorisent l’autodestruction des cellules tumorales, en les rendant sensibles à la chimio et à la radiothérapie.
Vous ne risquez absolument rien
L’épilobe parviflore est une plante tout ce qu’il y a de plus saine. Quant au zinc, vous l’avez déjà dans votre prostate !
Donc avec l’UROBOOST, vous pourriez arrêter
- D’avoir envie d’uriner inopinément, fréquemment, et toujours au plus mauvais moment
D’avoir mal quand vous urinez.
De ne rien arriver à « faire sortir » malgré vos efforts.
Que votre jet arrête d’être capricieux au point d’émettre des « gouttes retardataires » à peine sorti des toilettes…
Cette terrible sensation de n’avoir jamais vraiment fini.
Et surtout, surtout, de devoir être tout le temps interrompu par votre vessie…
C’est contre cela, et avec un succès de plusieurs années désormais que je recommande l’Uroboost. Si vous voulez tout savoir sur ce remède 100% naturel et vous le procurer, il vous suffit de cliquer ici.
Il existe aujourd’hui des remèdes qui peuvent vous faire retrouver une vie normale. Ne passez pas à côté !
1Naponelli V, Ramazzina I, Lenzi C, Bettuzzi S, Rizzi F. Green Tea Catechins for Prostate Cancer Prevention: Present Achievements and Future Challenges. Antioxidants (Basel). 2017 Apr
2Kurahashi N, Sasazuki S, Iwasaki M, Inoue M, Tsugane S; JPHC Study Group. Green tea consumption and prostate cancer risk in Japanese men: a prospective study. Am J Epidemiol. 2008 Jan
3Jian Z, Ye D, Chen Y, Li H, Wang K. Sexual Activity and Risk of Prostate Cancer: A Dose-Response Meta-Analysis. J Sex Med. 2018
4Esposito C, Santarcangelo C, Masselli R, Buonomo G, Nicotra G, Insolia V, D'Avino M, Caruso G, Buonomo AR, Sacchi R, Sommella E, Campiglia P, Tenore GC, Daglia M. Epilobium angustifolium L. extract with high content in oenothein B on benign prostatic hyperplasia: A monocentric, randomized, double-blind, placebo-controlled clinical trial. Biomed Pharmacother. 2021 Jun
« La prostate, ce n’est pas marrant »