Carencé en vitamine D ? Nous le sommes pratiquement tous depuis de nombreuses années. Hygiène de vie médiocre ou manque de contact avec la nature et donc le soleil, la vitamine D est le résultat d’une certaine sédentarité.
La majorité des personnes travaillent enfermée toute la journée dans un bureau, confinée à l’abri du soleil. Les temps libres sont souvent passés derrière un écran ou cloîtrés à la maison. De moins en moins de personnes profitent pleinement des bienfaits de la nature.
Quelles sont les sources de vitamine D ?
La vitamine D est une vitamine liposoluble indispensable au bien-être. Dès lors, son assimilation est primordiale dans une recherche de santé. L’assimilation du calciférol, vitamine D, s’effectue principalement via la peau par exposition solaire. Sous l’action des rayons solaires UVB, l’organisme synthétise la vitamine D3.
Parallèlement, certains aliments contiennent un taux de vitamine D suffisant :
Certains poissons de mer gras, comme l’espadon, l’anguille, le saumon, le thon rouge, le hareng, la truite, le flétan, etc.
Le jaune d’œuf cru, certains champignons, le beurre cru.
La vitamine D existe sous deux formes :
La vitamine D2 ou ergocalciférol, d’origine végétale ;
La vitamine D3 ou cholécalciférol, d’origine animale.
Comment savoir si on souffre de carences en vitamine D ?
Chez un adulte, une carence se manifeste par une ostéomalacie. Remarquée par des douleurs osseuses durables et des fractures récurrentes et spontanées, cette décalcification osseuse est induite par une déminéralisation importante de la trame protéique. Chez l’enfant, cela s’apparente à du rachitisme.
Une exposition solaire quotidienne de 5 à 30 minutes sur le visage, les bras et les mains suffit amplement à éviter une carence. La vitamine D fabriquée par la peau est stockée dans le foie pour être utilisée à la demande pendant les longs mois d’hiver.
Quelles sont les indications de la vitamine D ?
Auparavant, la vitamine D était uniquement considérée comme étant nécessaire à la prévention du rachitisme et du ramollissement osseux. Son rôle dans la participation à la prévention de l’ostéoporose et aux fractures du col du fémur (en association avec un apport de calcium dont fait partie le pidolate) du sujet âgé est maintenant bien établi.
Les bienfaits de la vitamine D vont pourtant bien au-delà de la seule santé du squelette avec des effets extraosseux originaux et souvent inattendus. C’est ce qu’ont mis en évidence des études cliniques et épidémiologiques tout à fait passionnantes.
Vitamine D : quelles sont les bénéfices établis et démontrés par les études scientifiques?
La vitamine D participe à réduire la mortalité liée aux problèmes dégénératifs et à ceux de la circulation. Ils constituent environ 70 % des causes de décès dans nos pays civilisés.
La vitamine D soutient l’efficacité du système immunitaire. Les personnes carencées sont plus fréquemment atteintes par des affections hivernales. En modulant l’immunité, la vitamine D contribue à atténuer les problèmes chroniques.
La vitamine D et la mémoire : il a été démontré que les hommes aux taux de vitamine D plus bas sont ceux dont les capacités intellectuelles s’amenuisent le plus en vieillissant. Une équipe de chercheurs de l'université de Los Angeles a découvert que la vitamine D et la curcumine contribueraient à la prévention des pertes de mémoire liées à l’âge ou à une maladie.
La vitamine D et le tonus musculaire : l’action favorable de la vitamine D3 sur le système ostéo-articulaire se couple à une augmentation de la force musculaire. Une étude réalisée en maison de repos chez des séniors a montré une réduction de 22% des chutes parmi les pensionnaires supplémentés en vitamine D.
La vitamine K2 : la garantie d’os solides (1)
Comme pour la vitamine D, il existe trois formes de vitamines K.
La vitamine K1 (phylloquinone) est d’origine végétale. Dans notre alimentation, on la trouve principalement dans les légumes verts, dans certaines huiles végétales (colza ou soja) et dans le jaune de l’œuf (principalement cru). Elle intervient dans les phénomènes de coagulation du sang.
Quant à la vitamine K2 (ménaquinone), elle est fabriquée par notre propre organisme et plus particulièrement par la flore intestinale (bactéries E-Coli) à condition que celles-ci soient en bon état. Il est malgré tout possible de la retrouver dans l'alimentation dans les huiles de poisson, dans le yaourt, dans le fromage, dans le lait et dans le foie. Tout comme la vitamine K1, elle est soluble dans les graisses.
En ce qui concerne la vitamine K3 (ménadione), elle est la forme synthétique de la vitamine K. Dès lors, elle est soluble facilement dans l’eau, contrairement aux précédentes. Convertible en vitamine K2 dans l’organisme, elle a une activité biologique plusieurs fois supérieure aux vitamines K1 et K2.
Quelles sont les indications de la vitamine K ?
La vitamine K est indispensable à la fixation du calcium sur les os. Dès lors, la vitamine K2 se dépose en quantité adaptée dans l’organisme, évitant tous dépôts anormaux. Ces dépôts sont le siège de problèmes de santé graves tel que le durcissement des artères. Avec l’âge, l’organisme perd sa capacité à équilibrer sa balance calcique, la vitamine K est alors une alliée de taille.
Coupler vitamine D3 et K2, un combo idéal
Couplées sous leur forme liposomée, les deux vitamines potentialisent mutuellement leur absorption intestinale et donc leurs effets sur le corps.
K2D3 Liposomé
La vitamine K2D3 liposomée est un parfait mélange de vitamine K, garantie d'os solides et de vitamine D qui couvre un spectre thérapeutique large. Une formule 2 en 1 qui confère à ce produit un effet spectaculaire sur les os.
Source : La clé de la nutrithérapie de Brigitte Gaye
Les vitamines D3 et K2 : une synergie parfaite pour votre santé !